LE MALI: PATRIMONIE DE L'UNESCO
Le Mali a adhéré à l’UNESCO le 7 novembre 1960. Il dépend du bureau multipays de l’Organisation à Bamako.
En septembre 2007, le Mali a accueilli la Conférence régionale de l’UNESCO sur l’alphabétisation.
Le Mali coopère avec l’UNESCO dans des activités variées. Celles-ci comprennent la formation des enseignants ; l’éducation pour la prévention du HIV et du sida ; les droits de l’homme et la biodiversité ; et la préservation des langues et du patrimoine culturel.
NOMBREUX SONT LES BIENS INSCRIT SUR LA LISTE DU PATRIMOINE MONDIAL. CA RENDE UNIQUE LE MALI ENTRE LE PAYS DE L'AFRIQUE.
ICI LE BIENS ET LE NOUVELLES QUE NOUS AVONS PRENDU DU SITE WEB DE L'UNESCO
Biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial
Culturel
▪ Tombeau des Askia (2004)
▪ Tombouctou (1988)
▪ Villes anciennes de Djenné (1988)
DU PATRIMOINE MIXTE C'EST A DIRE CULTUREL ET NATURALISTIQUE:
Falaises de Bandiagara (pays dogon) (1989)
• Tombeau des Askia
La spectaculaire structure pyramidale du tombeau des Askia, édifiée par Askia Mohamed, Empereur du Songhaï, en 1495 dans sa capitale Gao, témoigne de la puissance et de la richesse de l’empire qui s’épanouit aux XVe et XVIe siècles grâce au contrôle du commerce transsaharien, notamment du sel et de l’or. L’ensemble, y compris la tombe pyramidale, les deux mosquées à toit plat, le cimetière de la mosquée et l’espace des assemblées en plein air, fut édifié lorsque Gao devint la capitale de l’Empire songhaï et après qu’Askia Mohamed eut fait de l’islam la religion officielle de l’Empire à son retour de La Mecque.
• Villes anciennes de Djenné
Habité depuis 250 av. J.-C., le site de Djenné s'est développé pour devenir un marché et une ville importante pour le commerce transsaharien de l'or. Aux XVe et XVIe siècles, la ville a été un foyer de diffusion de l'islam. Ses maisons traditionnelles, dont près de 2 000 ont été préservées, sont bâties sur des petites collines toguere et adaptées aux inondations saisonnières.
• TOMBOUCTU
Dotée de la prestigieuse université coranique de Sankoré et d'autres medersa, Tombouctou était aux XVe et XVIe siècles une capitale intellectuelle et spirituelle et un centre de propagation de l'islam en Afrique. Ses trois grandes mosquées (Djingareyber, Sankoré et Sidi Yahia) témoignent de son âge d'or. Bien que restaurés au XVIe siècle, ces monuments sont aujourd'hui menacés par l'avancée du sable.
• Falaises de Bandiagara (pays dogon)
En plus de ses paysages exceptionnels de falaises et de plateau gréseux intégrant de très belles architectures (habitations, greniers, autels, sanctuaires et toguna – abris des hommes), le site de la région de Bandiagara possède des traditions sociales prestigieuses encore vivantes (masques, fêtes rituelles et populaires, cultes périodiquement rendus aux ancêtres à travers plusieurs cérémonies). Par ses caractéristiques géologiques, archéologiques et ethnologiques et ses paysages, le plateau de Bandiagara est l'un des sites les plus imposants d'Afrique de l'Ouest.
DU PAYS DOGON QUE C'EST "NOTRE" TERRITOIRE NOUS PARLONS AUSSI EN AUTRES BEAOCOUP DE PAGES DU SITE
LE PATRIMOINE IMMATERIEL
IL Y A AUSSI BEAOCOUP DES BIENS RECONNUS AU MALI ET INSCRIT DANS LA LISTE DU PATRIMOINE IMMATERIEL UNESCO
DANS LE PAGES SUR LES CULTURES DU MALI NOUS AVONS PARLE' AUSSI DE LA COSTITUTION DE KEITA ET DES AUTRES CHOSES.....
LE 2005 A ETE' INSCRIT “L'ESPACE CULTUREL DU YARAAL E DEL DEGAL"
L’espace culturel du yaaral et du degal correspond au vaste espace pastoral des Peuls du delta intérieur du Niger. Les festivités du yaaral et du degal marquent la traversée du fleuve au moment de la transhumance. Deux fois par an, les troupeaux de bétail passent des terres arides du Sahel aux plaines inondables du bassin intérieur du Niger. Les festivités se déroulent toujours un samedi, jour faste selon la croyance populaire peule, leur date exacte étant déterminée en fonction de l’état des pâturages et du niveau du fleuve.
Ces festivités donnent lieu à de nombreuses expressions culturelles. Des concours du troupeau le mieux décoré sont organisés. Les bergers déclament des poèmes pastoraux relatant leurs aventures pendant leurs longs mois de pérégrination. Les jeunes femmes se parent de leurs plus beaux habits et bijoux pour acclamer les bergers par leurs chants.
Ces deux manifestations, qui remontent à l’établissement des Peuls dans la région aux environs du quatorzième siècle, constituent le pivot du mode de vie de ces populations. La gestion des pâturages, le tracé des pistes de transhumance et le regroupement des troupeaux en des points spécifiques ont permis d’améliorer l’organisation de ces fêtes pastorales. Ces mesures ont attiré des foules toujours plus nombreuses et fait de ces rassemblements des événements majeurs. En réunissant des représentants de tous les groupes ethniques et de toutes les corporations professionnelles du Delta – éleveurs peuls, riziculteurs Marka ou Nono, cultivateurs de mil Bambara et pêcheurs Bozo – le yaaral et le degal renouvellent les pactes intercommunautaires et renforcent la cohésion sociale. L’adhésion massive des communautés de la région à ces festivités leur assure une pérennité certaine même si elles sont fragilisées par l’exode rural des jeunes et les sécheresses récurrentes qui affectent pâturages et troupeaux.
ET ENCORE:
Le « Sankémon » ou pêche collective dans le Sanké et la “Réfection septennale du toit du Kababulon” ou case sacrée de Kangaba
POUVEZ TROUVER EXPLICATION: www.kreb.blog.kataweb.it dans la page du 13 novembre 2009 mais c'est en italien...... sur le web en francais c'est suffit chercher.......!
ICI UN PEU DES FOTO AUSSI DU SITE DE L'UNESCO:
http://whc.unesco.org/fr/etatsparties/ml/